Source : Ouest-France

https://www.ouest-france.fr/bretagne/vitre-35500/a-vitre-un-rassemblement-antinucleaire-trente-huit-ans-apres-tchernobyl-e288724e-0146-11ef-9b4f-fa2c6cf081fe

À Vitré, un rassemblement antinucléaire, trente-huit ans après Tchernobyl

Le Mouvement pour une alternative non violente (MAN) et l’association Tuvalu, organisent ce samedi 27 avril 2024, à Vitré (Ille-et-Vilaine), un temps de rencontre avec les habitants, trente-huit ans après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl (Ukraine, alors URSS).

Véronique Marchandier, membre de la coordination antinucléaire Ouest ; Danièle Lebrun et Annie Déan, toutes deux membres du Mouvement pour une alternative non violente (MAN).
Véronique Marchandier, membre de la coordination antinucléaire Ouest ; Danièle Lebrun et Annie Déan, toutes deux membres du Mouvement pour une alternative non violente (MAN). | OUEST-FRANCE

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Le Mouvement pour une alternative non violente (MAN) et Tuvalu – l’association de protection et de valorisation de l’environnement du pays de Vitré – organisent ce samedi 27 avril 2024, à Vitré (Ille-et-Vilaine), un temps de rencontre avec les habitants, trente-huit ans après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine (ex-URSS).  Un temps aussi pour faire connaître l’association Enfants de Tchernobyl Belarus , ajoute Annie Déan, membre du MAN. Un collectif qui a été créé pour venir en aide aux enfants contaminés, après l’accident de la centrale nucléaire de Tchernobyl.

 

L’institut Belrad et l’état de santé des enfants

L’association soutient l’institut Belrad qui informe sur l’état de santé des enfants qui présentent des malformations et mesure le taux de radioactivité du Cesium 137 chez les enfants contaminés, surtout par le biais de la chaîne alimentaire.  85 % des enfants – donc nés après l’accident – présentent un taux anormal , précise Véronique Marchandier, membre de la coordination antinucléaire Ouest.

 

Un enjeu d’information

L’Institut Belrad applique un traitement à base de pectine de pommes en cure de trois semaines devant être répétées deux à quatre fois par an, selon les travaux de Youri Bandajewsky.  Nous sommes aussi inquiètes de la relance de la course aux armements, y compris nucléaires , indiquent-elles.


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