Yves GUILLERAULT
Paysan et journaliste, tous les deux en retraite active
A la campagne - France
Sa biographie
Une longue balade de vie sur la planète Terre à poursuivre mes rêves d’enfant autiste… et à les rattraper. Un kaléidoscope de rencontres exceptionnelles. Un patchwork de métiers exercés. Un rapport viscéral à la nature. Un refus obstiné de toute domination. Tout ça pour forger mes convictions d’anarco-écolo-humaniste.…
Son blog
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Le blog de Yves GUILLERAULT
Ses éditions
- suivie par 89 abonnés Contre les privatisations, en défense des biens communs !
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Ses billets de blog
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Quand l’Occident évacue ses migrants comme ses déchets
Un futur 1er ministre britannique ? © Catholic Church EnglandOn connaît le scandale d’un Occident qui évacue ses déchets vers des pays qu’il transforme en décharges. Il y ajoute désormais les migrants qui ne se sont pas noyés en route, quand il ne les renvoie pas à la baille comme il purge ses égouts. Le 1er ministre britannique a obtenu sa licence d’export de migrants, expédiés au Rwanda comme des ballots de fringues usagées. L’infamie est sans frontières. -
La guerre fait fureur chez les capitalistes
Munitions qui ont arrosé les tranchée de 1914-1918 © Etienne MahlerMacron entend faire parler la poudre en promouvant une économie de guerre qui, selon lui, « produit de la richesse ». Si Jaurès jugeait que « le capitalisme porte en lui la guerre », c’est parce que les enjeux de pouvoirs et de profits qu’il génère ne peuvent se régler que par le conflit. Dès lors, les canons tonnent, les capitalistes sablent le champagne, les peuples trinquent. -
Désordres croissants dans un monde en surchauffe
Coup de chaud sur la planète © Willy RevelLorsqu’on chauffe un corps, ses particules s’agitent dans un désordre croissant. Les turbulences du monde semblent suivre la progression du réchauffement climatique. Guerres, terrorisme, criminalité, migrations, rébellions, illustrent l’agitation des sociétés humaines. De plus, notre monde technologique, structure dissipative d’énergie, produit de l’entropie, se complexifie et donc se fragilise. -
Contre la logique des chefs de guerre
S'il y a un camp à choisir, ce sera celui de l'enfant, quelle que soit sa confession. © noaz.Impérialisme, colonialisme, fascisme, extrémismes religieux, racisme sont les fers de lance des génocides en cours. Prendre parti, c’est risquer d’entériner le pouvoir suprémaciste d’un despote, de perpétuer une idéologie funeste, au détriment des victimes. Contre la logique des chefs de guerre, seules l’émancipation et l’autodétermination des peuples victimes, sont dignes d’être soutenues. -
Le ferment révolutionnaire d’une autre agriculture
Bocage dans la Thiérache entre France et Belgique © Gauthier V.Le modèle agricole de la FNSEA et de l’agro-industrie est moribond. L’achever signifie s’attaquer aux usines à malbouffe qui façonnent depuis 50 ans le régime alimentaire des Français fait de pitances ultra-transformées. Puis, c’est réinventer un modèle agricole sur la base de savoirs ancestraux avec l’apport des sciences agronomiques et écologiques et s’appuyer sur des organisations relocalisées.
Ses articles d'édition
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Édition Contre les privatisations, en défense des biens communs !
Capitalisme vs communs: deux mondes inconciliables
Définir les communs peut faire société, surtout lorsqu’ils sont vitaux comme la biodiversité. Les communs organisent la coopération et un accès égalitaire aux ressources de base. À l’opposé, le capitalisme incarne la compétition et l’accumulation personnelle pour la domination de la pyramide sociale. Deux mondes inconciliables quand il s’agit de, notamment, préserver notre biosphère. -
Édition Contre les privatisations, en défense des biens communs !
La terre en Communs
Défendre les communs, c'est notamment défendre l'Humanité dans son biotope. Au même titre qu'un air sain, une eau limpide, la terre nourricière doit faire l'objet d'un contrat social vital. C'est poser inévitablement la question de la propriété privée dès son article premier.