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La conflictualité ne peut décidément aller de pair avec l'hubris. Le conflit est un art, que notre époque ne maîtrise plus, et Jean-Luc Mélenchon, à gauche, nous le démontre encore. Son amie la philosophe Chantal Mouffe lui a pourtant expliqué le principe des silex qui se frottent et s'affrontent, jusqu'à ce qu'un feu jaillisse. L'élève Mélenchon, lui, met le feu à la plaine. En réalité, il ne croit qu'en ses propres théories. Mélenchon est le premier des mélenchonistes, guidé par ses affects et ses intuitions, sous le regard las de ses camarades souvent exaspérés, et en dépit des apparences, par les propos du chef. Ce dernier considère que pour être entendu il lui faut taper fort, dire les choses sans pincettes, proposer à ses électeurs une représentation du monde simple, abordable, bi...
Mais voir et des fois entendre de pareils candidats est tout simplement insupportable. Je ne dirais qu'une chose : ses propos sur les vaccins anticovid mériteraient des poursuites judiciaires car leur niveau d'irresponsabilité s'analysent en une incitation au cataclysme. Quand on sait qu'en plus, il a ses trois doses, ça ne prête pas à rire mais à condamner "le traitre". La liberté d'expression devrait avoir des limites quand il s'agit de la santé des citoyens.
Faîtes comme je dis et pas comme je fais !
Camarade, franchement tu m'inquiètes...
@caton 63 : "plus vite il se retirera, mieux la France se portera ". J’aimerais que vous ayez raison ", mais je suis très pessimiste, la relève, avec les Ruffin, Autain, Corbières, sont peut-être pires…