Pour y accéder, il faut huit minutes de descente, comme à l’époque des mines. Lors de ses « visites pédagogiques » aux élus locaux, l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs explique : ici le sous-sol est fait d’une argile épaisse de 130 mètres, conditions idéales...
- Claude Kaiser Ancien maire de Mesnil la Horgne
- Stéphane Martin
Pour y accéder, il faut huit minutes de descente, comme à l’époque des mines. Lors de ses « visites pédagogiques » aux élus locaux, l’ Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs explique : ici le sous-sol est fait d’une argile épaisse de 130 mètres, conditions idéales pour emprisonner à terme les quelque 80 000 m3 de déchets produits par l’industrie nucléaire française. En attendant que l’Andra boucle l’avant-projet détaillé du futur site, les opposants au projet redoutent une désertification prochaine… car « qui voudra faire pousser du blé ou acheter une maison sur une décharge atomique ? »
En reportage : à Bure et dans les communes alentour.
Dans l'espace technologique de l' Andra avec les chargés de communication Martine Huraut et Eric Poirot ; avec Jean-Pierre Remmelé, ancien maire de Bonnet qui se situe dans la Zone d'intérêt pour la reconnaissance approfondie (ZIRA), et avec John, 34 ans, natif de la région, parti vivre à Paris mais qui a fait le choix de revenir s’y installer pour « sauver sa terre ».
En plateau : Stéphane Martin, maire de Gondrecourt le Château, qui a apporté son soutien au projet ; et Claude Kaiser, maire de Menil la Horgne, qui s’y oppose.
Emission enregistrée le vendredi 23 septembre dans les studios de France bleu Sud-Lorraine à Nancy.
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