Après une matinée « agitée » sur l’EPR de Flamanville (Manche), où des militants de Greenpeace se sont introduits pendant la nuit, des activistes de l’ONG étaient restés sur place, bloquant les accès au site.
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Leurs revendications
Par leur action, les militants de Greenpeace entendaient « dénoncer la volonté d’Emmanuel Macron et d’autres candidats et candidates à l’élection présidentielle de construire de nouveaux réacteurs EPR, au mépris des risques et des incertitudes liés au nucléaire »
Le blocage a duré toute la matinée. EDF avait fermé le site du chantier pour procéder à des vérifications après l’intrusion.
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Délogés et convoqués
Finalement, vers 13 heures, les forces de l’ordre ont délogé dans le calme les militants. Huit d’entre eux ont été emmenés en garde à vue, au même titre que les sept autres qui s’étaient introduits sur le site.
Tous ont été convoqués en audition libre au tribunal de Cherbourg, dès ce jeudi après-midi ou demain matin.
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