Christian SUEUR

médecin, psychiatre, addictologue...

Carcassonne - France

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  • Les conséquences sanitaires du nucléaire : la « science asservie »

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    A propos de deux rapports INSERM récemment publiés concernant les conséquences sanitaires des essais nucléaires français dans le Pacifique
  • L'épidémiologie, complice de la propagande des lobbys nucléaires

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    L'épidémiologie échoue à démontrer la réalité de la transmission transgénérationnelle des pathologies radio induites (TED et cancers chez les enfants), pourtant prouvées par les études cliniques et la biologie moléculaire. Le problème de santé publique des pathologies génétiques transgénérationnelles dans les situations de pollutions radioactives n'existe donc pas. Circulez, il n'y a rien à voir
  • Le débat sur les conséquences génétiques dans la descendance des sujets irradiés

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    Faudrait-il clore le débat concernant le constat clinique et radiobiologique sur les probables conséquences génétiques transgénérationelles que nous avons observées dans la descendance des vétérans et de certains habitants polynésiens exposés aux retombées des essais nucléaires du CEP ? Voici ma réponse à l'épidémiologiste Florent de Vathaire, que la Dépêche de Tahiti n'a pas publiée.
  • La politique coloniale française d’Omerta sur le Nucléaire continue

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    Nous avions lancé une recherche sur les conséquences sanitaires transgénérationnelles des essais nucléaires, à partir d’observations cliniques effectuées chez des enfants soignés par le service de pédopsychiatrie du CHPF en évidence la fréquence des Troubles Envahissants du Développement + anomalies génétiques, chez des petits enfants des vétérans du CEP; cette recherche s'est arrêtée.
  • Les essais nucléaires français dans le Pacifique n’étaient pas « propres »

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    45 ans après le premier tir nucléaire atmosphérique sur l’atoll de Moruroa, en Polynésie française (2 juillet 1966), 15 ans après le dernier essai souterrain (27 janvier 1996), après un total de 193 tirs nucléaires (41 + 5 essais dans l’atmosphère entre 1966 et 1974 et 147 essais sous-terrains, entre 1975 et 1996), la loi Morin d’indemnisation des victimes de la contamination radioactive de l’époque, et de ses « retombées », vient de reconnaître la légitimité de sa demande à l’un des travailleurs de l’époque, un métropolitain, qui se voit indemnisé au niveau d’un taux d’invalidité évalué à 2 %.