Top départ pour la relance du nucléaire Contenu réservé aux abonnés
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Le Sénat démarre en séance l'examen du projet de loi d'accélération du nucléaire. Le texte prévoit des mesures d'accélération administratives, mais surtout la suppression de l'objectif de réduction à 50 % de la part du nucléaire dans la production d'électricité d'ici à 2035.
Par Sharon Wajsbrot
Annoncée par Emmanuel Macron dans son discours de Belfort il y a près d'un an, la relance du nucléaire en France - avec la construction de six nouveaux réacteurs de type « EPR » - entre dans le concret. Le Sénat va se pencher sur le projet de loi d'« accélération des procédures liées à la construction de nouvelles installations nucléaires », ce mardi en séance.
Présenté par le gouvernement comme le pendant du projet de loi sur l'accélération des énergies renouvelables que l'Assemblée nationale vient d'adopter, ce texte est la premièrebrique du vaste dispositif qui doit permettre à l'énergéticien d'engager, dès juin 2024, le chantier de construction de deux premiers réacteurs « EPR » de deuxième génération qui doivent voir le jour à Penly, en Normandie .
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